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La Révolte du féminisme ?

  • Photo du rédacteur: Christelle Zucca
    Christelle Zucca
  • 29 sept. 2024
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 7 oct. 2024

Le féminisme évolue ou se révolte face à une société polluée par le patriarcat soutenue par des mouvements religieux. Ce qui a toujours existé se doit aujourd’hui plus qu’hier d’évoluer vers un partenariat. Tous les milieux sociaux sont touchés par des chaines se resserant, engageant des tentatives de marche arrière sur les libertés « accordées » aux femmes. D’ailleurs, au nom de quoi certains s’octroient le droit d’accorder ou non aux femmes un état d’égalitaire. Un droit acquis de naissance ? Au vu de la Constitution française Liberté, égalité, fraternité. Les nouveaux mouvements sont nombreux et si divers qu’il est difficile de se retrouver, de s’identifier. C’est dans ce méandre que se glissent les dérives des politiques et des religieux. Manipulant les jeunes esprits (garçons ou filles) dans un pays comme la France où les deux parties se doivent d’être séparées. Lutter contre cet État passe par l’éducation, qu’elle soit parentale ou nationale. Alors que devient l’adage : « La liberté des uns commence là où s’arrête celle des autres » de John Stuart Mill. Si ce n’est par le respect des lois. Les mouvements féministes veulent être le porte-parole des voix des femmes, de toutes éthiques, de toutes convictions religieuses. Elles portent en avant les faits divers (violent, matricide, féminicide) prenant appui sur la douleur humaine. Mettre en avant la condition féminine dans tous les pays confondus, à l’heure où les femmes devraient parler d’une seule voix, où elles devraient s’unir pour être sûr que le message soit non seulement entendu de tous, mais compris par tous. Afin que plus personne ne se perde dans un labyrinthe de non sens. Afin d’obtenir le pouvoir non fictif de faire évoluer les choses vers un partenariat égalitaire avec nos homologues masculins. Ne serait-ce pas là, la vraie révolution du féminisme ?


La Rivolta del femminismo ?

La femminismo evolve o si ribella di fronte a una società inquinata dal patriarcato sostenuta da movimenti religiosi. Ciò che è sempre esistito deve oggi, più che ieri, evolversi verso un partenariato. Tutti i ceti sociali sono colpiti da catene che si stringono, avviando tentativi di marcia indietro sulle libertà "concesse" alle donne. D'altronde, in nome di cosa alcuni si arrogano il diritto di concedere o meno alle donne uno stato di uguaglianza? Un diritto acquisito dalla nascita? Alla luce della Costituzione francese Libertà, uguaglianza, fraternità. I nuovi movimenti sono numerosi e così diversi che è difficile orientarsi, identificarsi. È in questo meandro che si insinuano le deviazioni delle politiche e dei religiosi. Manipolando le giovani menti (ragazzi o ragazze) in un paese come la Francia dove le due parti devono essere separate. Lottare contro questo Stato passa attraverso l'educazione, che sia parentale o nazionale. E allora, che fine fa l'adagio: « La libertà degli uni inizia dove finisce quella degli altri » di John Stuart Mill? Se non è attraverso il rispetto delle leggi. I movimenti femministi vogliono essere portavoce delle voci delle donne, di ogni etica, di ogni convinzione religiosa. Portano in primo piano i fatti di cronaca (violenti, matricidi, femminicidi) facendo leva sul dolore umano. Mettere in evidenza la condizione femminile in tutti i paesi, in un momento in cui le donne dovrebbero parlare con una sola voce, dove dovrebbero unirsi per essere sicure che il messaggio sia non solo ascoltato da tutti, ma compreso da tutti. Affinché nessuno si perda più in un labirinto di nonsenso. Al fine di ottenere il potere non fittizio di far evolvere le cose verso un partenariato paritario con i nostri omologhi maschili. Non sarebbe questa, la vera rivoluzione del femminismo?

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